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L'enfant qui a mal « Cet ouvrage prend racine dans mon amour pour ceux qui arrivent dans notre monde et ma confiance en ces porteurs d’espoir…Dès son arrivée ici l’enfant se doit de subir ces sortes de rituels initiatiques dont il doit sortir triomphant pour aborder le suivant, et chercher à tout prix à lui éviter ces bleus intérieurs l’ampute de sa capacité à vivre la réalité de l’existence… C’est de l’apprentissage de la fermeté dont il est ici question. De cette autorité à ne pas confondre avec l’autoritarisme qui provoque au contraire la soumission… « L’école est …le lieu où se répercute le mal être de l’enfant, mal être vécu dans sa vie quotidienne au sein de sa famille. Car le mal être « prend la tête « et empêche d’apprendre… ». « Quelle est donc cette forme d’alchimie qui transforme le laid en beau, qui transmute la souffrance en source de créativité ? qui transcende et surpasse le traumatisme subi ?… Cette résilience… cette souffrance dont on tire quelque chose …comme c’est le cas de celui qui, malgré une immense carence d’amour maternel, parvient malgré tout à évoluer et à créer… cette adaptation extrême de l’homme(qui) existe et nous émerveille même dans certaines situations… . |